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A l'appel de 25 organisations syndicales, associatives, Parents d'élèves plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Paris le 19 mars 2011 pour s'opposer aux suppressions de 16000 postes d'enseignants prévus cette année (50 000 depuis 3 ans), et exiger des moyens éducatifs indipensables à la réussite scolaire des élèves.
Au départ du métro de Luxembourg beaucoup d’animations autour de « géants » munis d’une pancarte demandant une école à la hauteur et des militants combatifs entourant la fontaine de la place.
Le cortège de plus en plus nombreux en avançant dans les rues de Paris était conduit par l’ensemble des dirigeants syndicaux, et des parents d’élèves. La FSU, l’UNSA, l’UNEF, la CGT et la FCPE étaient fortement représentés.
Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français était le seul dirigeant national à être présent dans cette manifestation où était exigée une école à la hauteur des enjeux éducatifs.
La France, avec une école publique de plus en plus mise en cause par Nicolas Sarkozy et son gouvernement se situe à la traine au niveau mondial. Avec un taux d’encadrement moyen de 5 enseignants pour 100 élèves elle est la dernière des pays de l’OCDE.
L’Essonne, département confronté à une suppression massive de moyens éducatifs était très présente dans cette manifestation qui sans doute constitue le début d’un mouvement qui dans les mois à venir va s’amplifier face aux dégâts prévisibles qui sont et vont être progressivement constatés dans les écoles, collèges, lycées, universités.
Comédienne citoyenne, elle n'hésite pas à s'engager à contre courant de l'idéologie dominante, pour la justice et les droits de l'homme.
Cet engagement est pour elle un tout. Dans l'Humanité du 30 octobre 2003 elle indiquait " Depuis des années que j'exerce ce métier, je ressens toujours la même angoisse quand je rentre sur une scène de théâtre ou sur un plateau de télévision.
À tel point que je ne souhaiterais qu'une seule chose à ce moment-là, c'est d'être ailleurs. Jusqu'à ce que la journée de tournage ou la représentation s'achève et là je ne désire qu'une chose : recommencer.
Oui, cela peut paraître paradoxal mais c'est toute la complexité de ce métier. L'écriture à si petite échelle que cela soit me fait exactement le même effet.
On joue pour les autres : on écrit pour les autres. Ce sont deux métiers en relation totale avec le monde extérieur.
Si je ne me nourris pas de ce qui se passe autour de moi, si je ne deviens pas une éponge, absorbant le maximum d'informations, je ne pourrai donner vie à tous ces personnages que l'on me demande d'incarner. Ils sont un mélange entre la réalité, mon imaginaire et ma personnalité."
Sophie de La Rochefoucauld est une actrice française, fille du réalisateur Jean-Dominique de La Rochefoucauld et de Michelle Prodroznik, productrice, née le 11 octobre 1965.
Issue d'une grande famille de France, Sophie de La Rochefoucauld n'a jamais caché ses origines. Alors que certains s'escriment à gommer toute branche «honteuse», la belle comédienne revendique son nom.
Née dans le milieu du cinéma (son père notamment était l'ancien scénariste de Roberto Rossellini), elle débute en 1983 dans le rôle d'Anne d'Autriche dans Richelieu ou La journée des dupes, aux côtés de Patrick Raynal et de Didier Sandre. Marion Sarrault l'engage en 1987 pour le feuilleton "Le Gerfaut". Elle joue depuis dans de nombreux téléfilms, notamment en 2000 avec le rôle titre dans Mary Lester, en 2005 dans Les Rois maudits, puis en 2006 dans "Retrouver Sara", pour lequel elle reçoit le prix d'interprétation féminine au festival du film de Luchon.
Héroïne de nombreux téléfilms et séries, on se souvient de "Mary Lester" mais aussi de "La garde-barrière et le président". La comédienne enchaîne les tournages : "Les filles du maître de chai" avec Frédéric Deban, "Les Semailles et les moissons" avec Bernard Yerlès...
Elle connaît aussi bien l'univers des sagas d'été. On l'a vue en 2000 dans "Tramontane" avec Alexandra Vandernoot et Georges Corraface... En 2001 dans "Méditerranée" avec Ingrid Chauvin, Charlotte Kady, Philippe Caroit... En 2002 dans "Garonne" avec Laure Marsac, Jean-Claude Adelin, Bruno Wolkowitch... Femme flic sur France 2 dans la série "Groupe Flag", elle fait équipe avec Patrick Fierry et Arnaud Binard...
En 2006, elle obtient le prix d'interprétation féminine pour son rôle dans le téléfilm "Retrouver Sara".
En 2007, elle joue dans Le réveillon des bonnes, série évènement de cette fin d'année sur France 3. En 2009, on la retrouve en guest dans un dans la série Plus Belle la vie.
Au théâtre, on a pu la voir notamment dans les classiques Ruy Blas de Victor Hugo, La Fausse suivante et La Mère confidente de Marivaux, et également La Perruque du vieux Lénine de Jean Ristat, Saint-François d'Assise, Médée, Germinal An III aux côtés de Myriam Boyer...
A l'écoute des plus démunis, Sophie de La Rochefoucauld est impliquée dans de nombreuses associations. Elle a été également chroniqueuse dans l'émission phare de France 5 Les Maternelles et a réalisé des sujets (à Madagascar, en Afghanistan...).
Sophie de La Rochefoucauld est engagée politiquement à gauche. Elle s'est impliquée dans la lutte contre la réforme du statut d'intermittent du spectacle.
Elle a notamment publié plusieurs tribunes dans L'Humanité
En 2004, elle se présente sur la liste Gauche populaire et citoyenne pour les élections régionales en Île-de-France, aux côtés de Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF et de Claire Villiers, fondatrice d'AC!.
En 2007, elle soutient la candidature de Marie-George Buffet à l'élection présidentielle en rejoignant son conseil de campagne.
A l'occasion des élections européennes de juin 2009, elle fait partie des nombreux soutiens au Front de Gauche.
Le sondage IFOP publié dans le journal l’Humanité du 23 février est passé inaperçu dans les médias de notre pays. La censure sur ce sujet, comme sur d’autres semble de plus en plus impitoyable.
En France où déjà plus de 50 de nos soldats sont morts, ce sujet mériterait autre chose que du mépris de la part de ceux qui dominent l’information, où plutôt ici la propagande.
Comment faire accepter de la part des français notre présence guerrière en Afghanistan ? Cela semble difficile, et le mieux semble-il est de ne pas traiter ce sujet.
Ces sondages réalisés conjointement en France et aux Etats-Unis 09 au 14 février 2011 auprès de 2 échantillons représentatifs de 1000 personnes sont sans appel.
En France 72 % des français se déclarent défavorables à l’intervention militaire français (contre 64 % en août 2009), 35 % seulement considèrent que cette présence a permis de faire progresser le pays vers la démocratie (42 % en août 2009). Le soutien à la présence française dans ce pays s’érode d’année en année. En 2001, 55 % des français y étaient favorables, aujourd’hui ce pourcentage tomba à 28 %.
Aux Etats Unis pour la première fois 50 % des américains disent être opposés à cette guerre (43 % en août 2009), 50 % s’y déclarent favorables, par contre 60 % indiquent en même temps que cette présence est utile pour lutter contre le terrorisme, 54 % que cela a permis une progression de la démocratie.
Le débat est donc loin d’être clos. Le PCF en respectant le rôle tenu par nos soldats dans ce pays s’est déclaré opposé à la présence militaire de la France en Afghanistan.